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Critères de classement de Google : 200 points à connaître

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le Dimanche 01 octobre 2017 - Mise à jour Dimanche 03 mars 2024
Facteurs SEO
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Temps de lecture : 46 minutes

Suite à la lecture de l’article « SEO : les critères les plus importants selon 140 référenceurs » du journaldunet, j’ai voulu réagir et apporter mon point de vue à la question des facteurs SEO.

❓ Pourquoi se soucier des facteurs de classement ?

Il est important de connaitre les critères de classement qui ont un impact majeur pour votre référencement naturel. Grâce à une analyse, vous allez pouvoir adapter votre contenu, l’environnement et les signaux pour maximiser vos chances de positionnement et ainsi dépasser vos concurrents.

Quels critères ont le plus de poids en matière de SEO ? Les facteurs de classement de recherche en 2021 ne sont plus universels. Pour réussir en référencement naturel depuis l’arrivée de RankBrain et la mise à jour « Google Page Experience » prévue en mai 2021, vous devez créer votre propre liste de facteurs de classement. Cette liste doit s’adapter aux besoins et aux spécificités de votre secteur d’activité et à votre public.

La liste que vous trouverez ci-dessous est donc un bon point de départ. Cependant, Rankbrain, l’algorithme d'apprentissage automatique de Google, modifie maintenant la priorité de ces facteurs en fonction de divers signaux : la thématique sémantique, le sujet et l'intention des internautes. Les facteurs de classement sont variables pour chaque requête.

Rankbrain fait du « reverse engineering » du comportement de l’internaute

RankBrain apprend du comportement de l'internaute. L’algorithme étudie la typologie d'informations que cherche l’internaute lorsqu'il utilise des mots clés spécifiques. Pour cela, Rankbrain collecte les données d'engagement de la SERP (la façon dont les utilisateurs interagissent avec la page des résultats de recherche). Il utilise ensuite cette information pour affiner les résultats futurs et donner la priorité aux facteurs de classement pertinents. En conséquence, les facteurs de classement de la recherche en 2021 ne sont plus universels, mais propre à chaque requête.

💥 204 critères de classement de Google

Il existe plus de 200 critères de classement de Google pour optimiser un site Internet et son contenu. Même si ces facteurs SEO sont en très grande partie connus, l’algorithme du moteur de recherche est quant à lui tenu secret. Leur influence exacte reste ainsi méconnue. Toutefois, c’est en travaillant le maximum de ces éléments que vous pouvez espérer voir vos contenus apparaître au sommet de la SERP. Mais n’en faites pas trop non plus ! Favorisez le bon sens ainsi que l’expérience utilisateur pour ne pas risquer une suroptimisation pouvant pénaliser votre référencement naturel.

Facteurs SEO au niveau du site

illustration facteurs SEO site internet

1. Site adapté à la navigation sur mobiles : depuis quelques années déjà, Google analyse en priorité la version mobile des sites Internet (Index Mobile First). Il est donc primordial de favoriser sa conception plutôt que de développer votre site en vous concentrant uniquement sur l’affichage desktop.

2. Usage d’un format AMP : en plus d’accélérer le temps de chargement d’une page Web, l’AMP (Accelerate Mobile Pages) semble favoriser l’affichage dans les nouvelles de Google sur mobile. Profitez-en pour améliorer votre visibilité sur la Toile !

3. Facilité d’utilisation : afin d’améliorer l’expérience utilisateur, votre site doit être simple à utiliser et proposer une navigation confortable. Il a été constaté que ce facteur influençait le taux de rebond et transmettait donc un message négatif aux moteurs de recherche.

4. Vitesse de chargement en fonction des données HTML : que ce soit Bing ou Google, leurs robots d’indexation analysent la vitesse de chargement pour établir la qualité d’un site Web et établir son classement sur les pages de résultats.

5. Vitesse de chargement en fonction des données de Google Chrome : sans surprise, Google utilise les statistiques de son navigateur pour établir la rapidité de téléchargement d’un site et conclure de sa qualité.

6. Arborescence logique : l’architecture de votre site Internet doit être conçue afin de répondre à l’entier des besoins des internautes. Pour y parvenir, la création d’un cocon sémantique efficient et la mise en place d’un cluster thématique complet sont donc essentielles.

7. Présence et cohérence du sitemap : même si ce critère n’est pas prouvé pour l’amélioration du SEO, cela permet aux robots d’indexation de parcourir plus rapidement l’entier de votre site Web, ce qui est forcément un atout pour votre référencement.

8. Fil d’Ariane : ce critère influence principalement l’expérience utilisateur en lui permettant de savoir exactement où il se situe dans sa navigation. Ce facteur est également pris en compte par les moteurs de recherches pour catégoriser les informations fournies dans la SERP.

9. Emplacement du serveur : une fois encore, ce procédé permet d’accélérer l’affichage de votre site. De plus, il aide au référencement local. Si vous visez un public international, l’usage d’un CDN (par exemple Cloudflare) est fortement recommandé.

10. Connexion sécurisée HTTPS : à l’origine, cette technique permettait uniquement de rassurer l’internaute en affichant publiquement la sécurité du site sur lequel ils se trouvent. Toutefois, cet élément sera pris en compte lors de la prochaine mise à jour de Google prévue en mai 2021.

11. Indice de confiance : le TrustRank est considéré par les référenceurs comme un indicateur primordial en SEO. Il paraît effectivement logique que les sites de confiance soient affichés en priorité dans les pages de résultats.

12. Autorité du domaine : la crédibilité de votre site est également un critère de référencement important pour votre positionnement sur les moteurs de recherche. Si vous êtes reconnu en tant qu’expert dans votre domaine, vous serez mis en avant.

13. Réputation du site liée aux avis : quel meilleur moyen de connaître la qualité d’un site Web que de simplement tenir compte de l’avis des utilisateurs. Google et autres l’ont bien compris et utilisent ce facteur pour le référencement organique.

14. Fréquences des mises à jour : l’ajout de nouveaux contenus et la mise à jour des textes existants semblent pris en compte par les moteurs de recherche. Tout du moins, cela permet aux robots d’indexation de reconsidérer le positionnement d’un site Internet en fonction de la qualité du contenu proposé.

15. Accessibilité du site Internet : les erreurs liées à des problèmes de serveur ainsi que la durée des maintenances peuvent influencer votre SEO. En effet, si le robot d’indexation passe à ce même moment ou pire, rencontre ce même problème à plusieurs reprises, il risque de désindexer (provisoirement) votre site.

16. Métadonnées uniques pour chaque page : même si les métadonnées n’ont pas un effet direct sur le SEO, elles ont une relation indirecte liée au taux de clics. Chaque page traitant d’un sujet unique, une simple adaptation permet de meilleurs résultats.

Indices de classement au niveau des pages

illustration critères SEO des pages internet

17. Profondeur de la page : plus une page est cachée en profondeur, moins elle a de chance de bien se classer dans les résultats proposés sur les moteurs de recherche. En effet, elles semblent moins importantes aux robots d’indexation qui pourraient même tout simplement les ignorer.

18. Priorité dans le sitemap : vous pouvez indiquer dans votre sitemap.xml la priorité des pages que vous souhaitez mettre en avant. Selon l’avis de nombreux spécialiste SEO, il semble que cela a une influence directe sur leur ranking.

19. Maillage interne : en utilisant de manière judicieuse les liens internes, vous aidez l’internaute à trouver l’ensemble des informations dont il a besoin. Par la même occasion, vous permettez aux robots d’indexation de crawler un maximum de pages de votre site Internet.

20. Affiliation à une catégorie : plus la catégorie correspond au contenu proposé, plus la page a de valeur aux yeux de Google et autres moteurs de recherche. Tâchez donc d’être clair et cohérent dans vos chaînes d’URL. 

21. Longueur de l’URL : la tendance à l’affichage prioritaire des pages avec une URL courte paraît avérée. Il n’existe cependant pas de longueur optimale. Sachez toutefois que 2 048 caractères par adresse réticulaire est le maximum que vous pouvez renseigner dans votre sitemap.

22. Mot-clé dans l’URL : même si ce facteur SEO est considéré comme minime (voir la vidéo de John Muller, en anglais), il influence légèrement votre référencement. De ce fait, lorsque cela est possible, n’hésitez pas à ajouter un mot-clé dans l’adresse de votre page.

23. HTML épuré et sans erreur : un code HTML simple et sans erreur transmet un signal de qualité aux moteurs de recherche. Pour vérifier vos pages CSS, vous pouvez utiliser l’outil W3C créé pour aider les développeurs dans cette tâche complexe.

24. Facilité de navigation de la page : en permettant à l’internaute de naviguer confortablement et de manière intuitive, vous améliorer l’expérience utilisateur. Comme il s’agit d’une des priorités actuelles de Google, cela ne peut qu’aider votre référencement naturel.

25. Table des matières : voici justement un excellent moyen de rendre la navigation plus agréable pour vos lecteurs. Cela leur permet de trouver rapidement l’information qu’ils souhaitent obtenir ou de pouvoir revenir en arrière de manière simple et efficace.

26. Qualité rédactionnelle (grammaire et orthographe) : il s’agit d’un indice de confiance et de qualité qui rassurera autant l’internaute que les moteurs de recherche. Son influence en SEO n’est pas avérée, mais cela reste néanmoins le meilleur moyen d’être crédible sur la Toile.

27. Niveau de lisibilité : pour pouvoir répondre aux requêtes de masse, Google favorisera logiquement un texte simple à lire. En revanche, pour des requêtes plus techniques, un niveau de lisibilité plus élevé pourra être favorisé. Pensez donc à adapter votre niveau rédactionnel au sujet que vous traitez.

28. Listes à puces et numériques : agréable à la lecture et excellent moyen d’aérer son texte, l’utilisation des symboles typographiques améliore le confort de l’utilisateur. D’ailleurs, Google semble également favoriser ce type de contenu dans leurs résultats affichés.

29. Contenu unique : le contenu dupliqué (duplicate content) est reconnu comme étant pénalisé par les moteurs de recherche. En effet, ne pouvant définir quelle est la page à afficher, ils préfèrent tout simplement désindexer tous les contenus identiques.

30. Balise canonicale : notamment sur un site e-commerce, il est extrêmement compliqué de ne pas avoir de contenu dupliqué. La balise canonique permet de définir quelle est la page source afin de ne pas risquer de pénalités liées au duplicate content.

31. Qualité du contenu : pour s’assurer de fournir des résultats répondant entièrement aux requêtes des internautes, les moteurs de recherche veulent des contenus à forte valeur ajoutée. Essayez donc de toujours proposer des textes plus pertinents que ce que font vos concurrents.

32. Utilité du contenu : non seulement votre contenu doit être de qualité, mais il doit pouvoir également (et surtout) être utile. Il faut donc que votre texte réponde de la manière la plus simple possible à une question ou un besoin que se posent réellement les utilisateurs.

33. Sujet traité dans son intégralité : afin de répondre au mieux aux intentions de requête, essayez de traiter l’entier du thème abordé. Développez donc votre champ lexical tout en fournissant l’ensemble des informations qui vous semblent nécessaires.

34. Pertinence selon l’intention de recherche : votre contenu doit correspondre aux promesses faites dans vos titres. Dans le cas contraire, les utilisateurs et les moteurs de recherche seront déçus, ce qui pénalisera l’indexation de votre page.

35. Âge de la page : même si Google préfère afficher du contenu récent, il aime également promouvoir les pages anciennes qui sont fréquemment mises à jour. Cela prouve que votre contenu est d’actualité et répondra aux attentes des internautes.

36. Fréquences des mises à jour : plus les pages sont fréquemment mises à jour, plus vous prouvez aux moteurs de recherche que votre site est dynamique. Ce critère SEO est largement reconnu comme favorisant votre référencement naturel.

37. Longueur du contenu : même si les textes longs semblent mieux se positionner, il n’existe pas de longueur du contenu idéale. Vous devez tout simplement adapter la taille de vos textes au sujet que vous traitez afin de répondre au mieux aux intentions de recherche.

38. Répétition des mots-clés : autrefois essentielle en SEO, l’utilisation répétitive d’un même mot-clé est en train de laisser place à l’avènement du champ lexical. Néanmoins, il reste essentiel de répéter un mot-clé afin de ranker dessus. La parcimonie est de mise !

39. Présence du mot-clé dans les 100 premiers mots : en observant les résultats de la première page de Google, on remarque que le mot-clé principal se situe invariablement parmi les 100 premiers mots. La bonne habitude à prendre est donc de l’intégrer dans votre chapô (introduction).

40. Cannibialisation : il existe une règle de base en SEO à laquelle il ne faut pas déroger : un mot-clé par page ! Si vous ne suivez pas ce principe, vous risquez une cannibalisation de vos mots-clés, ce qui empêchera aux moteurs de recherche de comprendre votre thème principal.

41. Champ sémantique : afin de faire comprendre aux robots d’indexation que le sujet est traité dans sa globalité, vous allez privilégier un vocabulaire varié et complet qui englobe l’entier de votre sujet. Pour être capable de répondre à cette exigence, n’hésitez pas à utiliser notre outil sémantique.

42. Sources et références : lorsque vous traitez d’un sujet scientifique ou extrêmement technique, vous devriez toujours citer vos sources. C’est en tout cas ce qui semble ressortir de leur guide de qualité (Page Quality Rating Guidline, PDF en anglais).

43. Mot-clé dans la balise « Title » : même si la balise « Title » n’a plus autant d’influence SEO qu’autrefois, cela reste essentiel d’y renseigner son mot-clé. De préférence, tentez de le placer au début de votre métatitre.

44. Mot-clé dans la balise « H1 » : autre zone chaude, vous devriez toujours indiquer votre mot-clé principal dans la balise « H1 ». Une bonne pratique SEO peut également être d’y indiquer une autre variante que celui utilisé dans votre métatitle afin de tenter d’améliorer votre positionnement sur plusieurs requêtes. 

45. Mot-clé dans les autres titres : en fonction de la longueur de votre contenu et du nombre de sous-titres, essayez d’intégrer votre mot-clé principal et vos mots-clés associés dans vos balises « H2 », « H3 », etc.

46. Champ lexical dans les titres : plus vous faites comprendre aux moteurs de recherche que votre contenu traite de l’entier du sujet, plus vous avez des chances de bien vous positionner dans la SERP. En même temps, vous aidez votre lecteur à s’orienter facilement sur votre page ou votre article.

47. Requête clé dans la métadescription : il s’agit ici d’un facteur SEO indirect. En effet, la métadescription n’est pas prise en compte pour l’indexation de votre page. Toutefois, elle détermine le taux de clic, qui lui influencera votre positionnement et votre pérennité au sommet des résultats affichés.

48. TF-IDF : ce facteur SEO est à prendre avec des pincettes ! Même si le TF-IDF est encore parfois utilisé par les moteurs de recherches pour analyser votre contenu, ce procédé date et tend à disparaitre.

49. Optimisation des images : la vitesse de chargement est une des priorités actuelles de Google, d’autant plus sur les mobiles. En compressant vos images et adaptant vos tailles et formats, vous améliorez vos chances de voir vos pages remonter dans la SERP.

50. Présence de multimédias : le contenu n’est pas que textuel ! Les images, les vidéos et les podcasts sont désormais essentiels pour réussir votre content marketing. En ajoutant ce type de contenu à vos pages, vous envoyez donc un message de qualité aux moteurs de recherche.

51. Affichage sur mobiles : comme pour votre site Internet, chacune de vos pages doit être adaptée aux versions mobiles (téléphones et tablettes). Être mobile friendly est aujourd’hui incontestablement une obligation en matière de référencement.

52. Contenu caché sur mobiles : selon John Mueller (vidéo en anglais), le contenu qui n’est pas visible sur les mobiles ne sera pas indexé. Il n’y aurait toutefois pas de pénalité à cet égard, même si le contenu essentiel devrait toujours être affiché.

53. Contenu caché sous des onglets : si l’utilisateur doit cliquer sur un onglet pour afficher un contenu, il semblerait que celui-ci ne soit pas indexé. La transparence semble être un élément SEO essentiel en 2021.

54. Quantité d’informations transmises sur la page de contact : Google apprécie les pages de contact fournissant un maximum d’informations. Celles-ci doivent bien entendu également correspondre aux données fournies sur WhoIs.

55. Page de confidentialité : avec Google E-A-T et le besoin croissant de fiabilité, la page de confidentialité assure les moteurs de recherche du bien-fondé de votre entreprise. À ne pas négliger !

56. Mentions légales : pour les mêmes raisons que celles citées dans le critère 55, les mentions légales doivent apparaître sur votre site Web et être accessibles publiquement.

57. Nombre de liens internes entrants : plus une page est ciblée par des liens internes, plus elle sera crawlée par les moteurs de recherche. De plus, elle obtient plus de puissance à chaque fois qu’une autre page s’y réfère.

58. Nombre de liens internes sortants : le lien interne sortant n’influence pas la page source, mais donne du « jus de lien » à la page de destination. Cependant, plus il y a de liens sortants sur une même page, moins ceux-ci auront d’influence.

59. Liens cassés : avoir trop de liens cassés (dirigeant vers des erreurs 404) sur une page envoie un signal négatif à Google. Il considère alors que le site est abandonné ou mal entretenu, ce qui diminue son indice de confiance.

60. Liens affiliés : avoir des liens affiliés sur ses pages n’est pas pénalisé par Google. Néanmoins, s’il remarque que vous en avez trop, il risque d’approfondir les recherches pour vérifier qu’il ne s’agit pas d’un site dédié uniquement à des fins commerciales.

61. Liens sortants vers des sites reconnus : en citant des sites de reconnus, vous transmettez un signal positif aux moteurs de recherche. Ils considèrent alors que vous êtes dignes de confiance et transparents, ce qui semble primordial aujourd’hui pour un bon SEO.

62. Liens sortants vers un thème concordant : si tous les liens sortants de votre page concordent avec le thème abordé, vous signalez à Google que vous traitez le sujet dans son intégralité en prenant soin d’informer l’internaute de manière exhaustive.

63. Nombre de liens sortants : la quantité de liens sortants n’influence pas directement votre référencement. Toutefois, si c’est le cas de manière trop répétitive, Google s’assurera que votre site n’est pas uniquement dédié à du spam.

Influence des liens entrants (backlinks)

illustration facteurs de référencement des backlinks

64. Liens entrants depuis un domaine ancien : des liens provenant d’un site ancien ont plus d’influence que des liens issus depuis des sites Internet récents.

65. Âge du lien : les liens qui perdurent sont plus reconnus par les moteurs de recherche que les liens récents. 

66. Autorité du domaine (trust flow) : l’autorité du domaine de provenance ainsi que du site ciblé est un facteur SEO important pour l’indexation des pages concernées.

67. Citation flow (flux des citations) : cette notion a été développée par Majestic. Ce critère de référencement représente le potentiel de positionnement d’une URL en fonction de la qualité et de la puissance des liens reçus.

68. Autorité de la page d’accueil : le nombre de liens de qualités pointant vers la page d’accueil d’un site Internet permet aux moteurs de recherche d’établir une importance singulière de sa qualité. 

69. Autorité de la page source : si la page qui propose un lien externe vers votre site est largement reconnue (PageRank), son influence a toujours été acceptée comme étant une référence en matière de SEO.

70. Qualité des backlinks : un lien provenant d’un texte incomplet ou mal écrit n’apporte pas autant de bénéfices que celui provenant d’un contenu de qualité.

71. Nombre de domaines référents : la quantité de sites Web qui ont un lien vers un autre site Internet a toujours été un facteur prépondérant en référencement naturel.

72. Nombre de liens entrants : même si la qualité prime sur la quantité (comme toujours en SEO), le nombre de liens entrants reste une manière d’améliorer son ranking. Faites toutefois attention aux excès pouvant faire croire à du spam !

73. Quantité de pages pointées par des liens : plus vous avez de pages qui obtiennent de backlinks, plus les moteurs de recherche vous considéreront comme un site de référence.

74. Similitude du domaine référent : la concordance des sujets est essentielle en netlinking. Le fait que des domaines traitant de sujets similaires pointent vers un site du même univers aide au positionnement dans la SERP.

75. Liens provenant de sites concurrents : il n’est pas coutume que des concurrents se recommandent parmi. Si c’est le cas, alors Google prendra cela comme un signal positif pour l’indexation et le classement de la page ciblée.

76. Backlinks depuis des sites reconnus : certains experts SEO sont persuadés que d’obtenir des liens depuis des sites experts, en « .org » ou « .edu », ont plus d’influence. Toutefois, ce facteur n’a jamais été prouvé.

77. Similitude des sujets entre les deux pages : il semble évident qu’une page traitant d’une thématique pointe vers une autre page parlant du même sujet a plus d’importance que si ce n’était pas le cas.

78. Liens issus de sites pénalisés : un lien provenant d’un site pénalisé a un effet négatif sur le SEO. C’est pourquoi il est important de toujours vérifier la provenance de vos backlinks.

79. Provenance depuis un site vérifié : il est devenu courant de découvrir des blogs dédiés uniquement à la promotion de liens sortants (fake blog). Google s’en est rendu compte et favorise donc les liens issus de sites vérifiés.

80. Liens en « nofollow » : ce type de lien n’est généralement pas suivi par les robots d’indexation et n’apporte donc aucun bénéfice en matière de SEO. Néanmoins, il arrive que ce ne soit pas toujours le cas.

81. Liens sponsorisés : les liens « rel=sponsored » ou « rel=UGC » sont traités de manière différente par les moteurs de recherche. Toutefois, leur importance pour le référencement naturel n’est pas prouvée.

82. Links issus de Wikipédia : même si ces liens sont en « nofollow », certains référenceurs sont persuadés que ceux-ci sont bénéfiques. Ils se basent notamment sur le fait de l’immense notoriété de l’encyclopédie universelle.

83. Liens depuis un forum : peu reconnus, voir même pénalisés si identifiés comme « spam », les liens issus des forums sont souvent en « nofollow » et n’apportent que très peu de bénéfices à leur destinataire.

84. Emplacement sur la page : l’emplacement du link sur la page est important. Un lien inscrit dans le pied de page (footer) ou dans une colonne latérale (sidebar) a moins d’influence qu’un lien directement placé dans le contenu.

85. Emplacement dans le contenu : il semble qu’un lien apparaissant au début d’un texte ait plus de puissance que s’il était placé à la fin.

86. Quantité de liens externes sur une même page : trop de liens en « dofollow » sur une même page diluent le PageRank (on parle alors de « perte de jus »).

87. Nombre de liens provenant d’une même page : le fait que vous mettiez plusieurs fois un lien pointant vers une même page dans le même contenu n’apporte pas plus de valeur SEO. En effet, ils ne sont comptabilisés que comme un seul et unique lien.

88. Recommandation dans des articles invités : bien que ces liens apportent une certaine valeur, ils ne sont pas reconnus autant que des liens naturels.

89. Variété des ancres de lien : les ancres de lien sont un réel moyen pour les moteurs de recherche afin de combattre le spam ou la suroptimisation. Leur variété est donc largement prise en compte.

90. Textes entourant le lien : les mots placés directement avant et après l’ancre de lien permettent de connaître sa pertinence. C’est donc un critère important pour votre référencement organique.

91. Qualité du contenu du site référent : si le contenu du site source est déjà reconnu selon les critères SEO rédactionnels, ses liens auront plus d’efficacité pour les sites ciblés.

92. Longueur du contenu du site référent : la longueur du contenu n’a pas directement d’influence sur la puissance des liens. Mais une fois encore, il faut tout de même que le texte référent semble complet selon les facteurs énumérés précédemment.

93. Rapidité du lien : à nouveau, la vitesse de chargement est un facteur essentiel pour un bon référencement. La vitesse d’ouverture d’un lien est donc prise en compte par les moteurs de recherche.

94. Diversité du type de backlinks : n’avoir des liens en provenance que d’une seule source (commentaires dans des blogs ou des forums) ressemble à du spam. Au contraire, si les liens sont issus d’origines multitudes et variées, c’est un bon indicateur SEO.

95. Liens pointant vers des pages 301 : les liens distribués vers des pages redirigées (301) ont moins de puissance que des liens qui ne sont pas reconduits.

96. Liens provenant d’une page 301 : selon Matt Cutts (vidéo en anglais), les liens provenant de pages en code 301 réduisent le jus de lien.

97. Links issus de noms de domaine géolocalisés : des liens provenant de sites aux extensions géolocalisées (.fr, .eu, etc.) aident au référencement local dans le même pays.

98. Échange de liens : un échange direct de liens (site A pointant vers site B et vice versa) envoie un signal d’alerte aux moteurs de recherche, ce qui peut donc avoir un effet négatif sur votre référencement naturel. 

99. Triangulation des liens : un site A qui dirige vers un site B qui lui-même envoie vers un site C, est la meilleure manière d’effectuer un échange de liens. Moins flagrante, cette technique n’est pas pénalisée par Google.

100. Lien issu par le domaine racine : en obtenant un lien issu d’un domaine racine, vous profitez de toute la puissance du site référant. C’est donc la meilleure option pour améliorer votre popularité aux yeux des moteurs de recherche.

101. Lien issu par un sous-domaine : il semblerait qu’un lien provenant d'un sous-domaine ait légèrement moins d’influence qu’un lien issu depuis un domaine racine. Toutefois, cela reste un bon moyen pour augmenter la notoriété d’un site Web.

102. Utilisation d’un Schema.org : les pages qui permettent un affichage des microdonnées ont l’air d’apparaître, en priorité sur les pages de résultats. Cela pourrait être lié au fait qu’elles obtiennent un meilleur CTR (taux de clics).

103. Attributs « alt » pour les images : reconnues comme ancres de lien, l’information que vous transmettez par le biais de l’attribut « alt » est donc primordiale pour votre classement sur Google.

Relation entre le positionnement et l’expérience utilisateur

illustration facteurs SEO user experience

104. Rankbrain et l’interaction avec l’utilisateur : Rankbrain est l’IA (Intelligence Artificielle) utilisée par l’algorithme de Google pour définir la qualité de l’interaction d’un site avec son utilisateur. Les résultats affichés semblent ainsi s’accorder directement avec ce critère SEO.

105. Taux de clics organiques (CTR) pour un seul mot-clé : lorsqu’une page obtient un excellent CTR pour un mot-clé, son positionnement dans la SERP semble renforcé sur le long terme.

106. Taux de clics organiques (CTR) pour tous les mots-clés : quand un site a un CTR élevé pour chaque mot-clé, son positionnement général dans la SERP est amélioré de manière globale.

107. Taux de rebond : même si ce facteur est controversé au sein de la communauté SEO, il semble que le taux de rebond soit pris en compte par l’algorithme de Google.

108. Temps de lecture : plus l’internaute passe de temps sur une page, plus les moteurs de recherche considèrent qu’il s’agit d’un résultat intéressant. Ils auront donc tendance à les proposer en priorité.

109. Trafic direct : un site qui reçoit beaucoup de trafic direct est un excellent indicateur de confiance. Google utilise ses données récoltées sur Chrome pour avoir accès à ce type d’information.

110. Trafic depuis les réseaux sociaux : les indications de connexion depuis les médias sociaux sont également une source d’information prise en compte par les moteurs de recherche.

111. Nouveaux utilisateurs : lorsqu’un site attire de nombreux nouveaux visiteurs, il envoie un message prouvant son dynamisme et sa fraîcheur. Toutefois, si ce taux est trop élevé et que peu de visiteurs reviennent, cela peut être un indicateur négatif.

112. Visiteurs réguliers : si des profils similaires viennent fréquemment visiter un même site Internet, cela démontre que ce site propose des contenus de qualité et un grand domaine d’expertise.

113. Comportement de l’utilisateur sur le moteur de recherche : appelé pogosticking, il s’agit du nombre de liens cliqués dans la SERP par un même utilisateur. Plus le résultat est élevé, plus les sites affichés en premier ont tendance à être déclassés.

114. Navigation simple : moins il y a de clics pour trouver une information pertinente sur un site, plus le classement sur les pages de résultats des moteurs de recherche est élevé.

115. Navigation intuitive : la facilité d’explorer un site Internet est un facteur SEO important pour définir la qualité de l’expérience utilisateur (UX).

116. Utilisation adaptée à tous les supports de lecture numérique : même si on parle de mobile first, un site Web doit être lisible sur tous les types de supports numériques (portables, tablettes et desktop).

117. Nombre de commentaires : la quantité de commentaires sur une page (positifs ou négatifs) démontre une bonne interactivité avec l’internaute, ce qui est donc un facteur positif pour les moteurs de recherche.

118. Avis des utilisateurs : les avis prouvés des utilisateurs sont également un moyen utilisé par l’algorithme pour déterminer de la qualité d’utilisation d’un site Internet.

119. Favoris sur Google Chrome : une fois encore, Google utilise les données de son navigateur pour comprendre le degré de satisfaction des internautes. Sans surprise, un site souvent placé dans les favoris de Chrome a plus de chance d’être bien positionné.

120. Sites bloqués : Même si Chrome a désactivé cette fonction, le filtre Panda prenait en considération ce facteur comme indice de qualité. Il y a fort à parier qu’une variante de ce critère soit donc toujours d’actualité. 

121. Lien apprécié pour répondre à différentes requêtes similaires : lorsqu’un même lien affiché dans la SERP est largement utilisé pour répondre à de nombreuses recherches du même type, cela démontre que le sujet a bel et bien été abordé dans son intégralité.

Critères SEO liés au nom de domaine

illustration critères SEO du nom de domaine

122. Ancienneté du nom de domaine : selon Matt Cutts (vidéo en anglais), l’âge d’un domaine est pris en compte par l’algorithme, mais ce n’est pas un critère SEO d’une grande influence.

123. Durée du contrat avec l’hébergeur : si le terme du contrat d’hébergement est court, cela peut démontrer que le site n’est pas fiable. Au contraire, une échéance à long terme est plus fréquemment utilisée par les sites de qualité.

124. Historique de navigation sur Google Chrome : les noms de domaine présents dans grand nombre d’historiques de navigation sont pris en compte par l’algorithme de Google.

125. Historique de recherches : lorsqu’un nom de domaine est souvent écrit dans la barre de recherche, il semble y avoir une corrélation avec son référencement naturel.

126. Mot-clé dans le nom de domaine : bien que ce facteur ne semble plus aussi important qu’à l’époque, cela reste un moyen de légèrement booster son SEO.

127. Mot-clé dans le sous-domaine : il en est de même pour le sous-domaine. Un mot-clé inclus dedans permet d’améliorer son référencement organique.

128. Mot-clé en premier dans le nom de domaine : si le mot-clé apparaît au début du NDD (Nom De Domaine), cela donne un avantage par rapport à ceux indiqués au milieu ou à la fin.

129. Exact Match Domain : l’EMD semble toujours efficace dans certaines circonstances. Toutefois, ce facteur est de plus en plus pénalisé, car il a été reconnu comme étant un moyen de suroptimisation.

130. Informations WhoIs publiques : tout ce qui est publique et présenté en toute transparence est un bon indicateur pour les moteurs de recherche et améliore le SEO des sites concernés.

131. Informations WhoIs privées : au contraire, des informations cachées peuvent sembler louches pour Google et donc lui réfréner l’envie d’afficher ce type de site en priorité.

132. Propriétaire pénalisé par WhoIs : si Google a déterminé que le propriétaire d’un site Internet est un spammeur, il va donc prendre garde à tous les sites qu’il possède.

133. Extension du nom de domaine : l’extension d’un nom de domaine peut être positive pour le référencement local, mais pénalisant pour un référencement international.

Incidences liées au nom de la marque

illustration facteurs SEO liés au nom de la marque

134. Ancres de liens correspondant exactement au nom de la marque : une ancre de lien stipulant exactement le nom de la marque est un indice de confiance pris en compte par les algorithmes SEO.

135. Recherches de la marque sur Google : lorsque les utilisateurs recherchent directement un nom de marque dans la barre de recherche, cela prouve que la marque existe réellement.

136. Recherches de mots-clés associés au nom de la marque : si une recherche de mot-clé est accompagnée par un nom de marque (par exemple « content marketing SEOQuantum »), le site est favorisé lors d’une requête non associée.

137. Compte Facebook actif et largement suivi : plus les marques sont reconnues, plus elles semblent avoir de likes sur leur page Facebook. Il s’agit donc d’un indicateur positif pour les moteurs de recherche.

138. Compte Twitter avec beaucoup de followers : la popularité peut également être prouvée par le nombre de followers de leur compte Twitter.

139. Compte officiel sur LinkedIn : la majorité des entreprises vérifiées ont une page LinkedIn, ce qui à nouveau est un bon indicateur de confiance.

140. Page YouTube avec beaucoup de likes : comme YouTube appartient à Google, c’est sans surprise que la popularité d’une chaîne YouTube influence le référencement naturel d’une société.

141. Légitimité des comptes sur les réseaux sociaux : Google tente de déterminer la légitimité des comptes sur les médias sociaux en comparant le nombre de membres au nombre de publications.

142. Auteurs connus et reconnus : les informations liées à des profils vérifiés sont mieux positionnées dans la SERP que les contenus non signés.

143. Recommandations de la marque : une marque souvent recommandée pour tel type de produit ou de service aura un avantage pour son référencement naturel.

144. Mentions de la marque sans lien hypertexte : une marque qui est mentionnée dans un texte sans pour autant avoir de backlink est un critère de confiance pour la marque concernée.

145. Emplacement de l’entreprise : la situation géographique d’une entreprise est un atout pour le référencement local et les recherches géolocalisées.

146. Présence de bureaux physiques : une vraie entreprise à des bureaux physiques. C’est donc un critère analysé par les algorithmes pour déterminer l’indice de confiance d’une marque.

Règles spécifiques à l’affichage sur Google

illustration facteurs SEO pour l'affichage sur Google

147. Mise en avant de contenus récents : avec Google Caféine, les résultats récents ont un avantage sur certaines requêtes pouvant être associées à de l’actualité (par exemple « Roger Federer »).

148. Réponses variées aux requêtes généralistes : pour répondre à des requêtes généralistes (comme « chaussure »), Google a tendance à afficher une grande diversité de résultats.

149. Adaptation des recherches : Google Colibri permet au moteur de recherche de mieux comprendre les requêtes des internautes et d’afficher des résultats plus précis.

150. Adaptation des résultats en fonction de l’historique des recherches : en fonction de votre propre historique de recherche, les résultats affichés sur Google peuvent être différents pour chaque utilisateur.

151. Structure des pages : selon la structure d’une page, Google choisit ou non d’afficher des featured snippets qui améliorent considérablement le CTR.

152. Affichage de chaînes d’URL : pour simplifier la lecture et transmettre un message clair, Google choisit d’afficher une chaîne d’URL simplifiée pour les sites qui ont une architecture cohérente.

153. Résultats favorisant les marques reconnues : lorsque Google a totalement confiance dans une marque, celle-ci sera proposée en priorité pour toutes recherches associées.

154. Affichage de résultats géolocalisés : en fonction de l’emplacement géographique de l’utilisateur, les résultats affichés ne sont pas similaires.

155. Édition manuelle des pages de résultats : certaines actions manuelles sont effectuées pour améliorer l’affichage proposé par l’algorithme de Google.

156. Mise en avant de résultats GoogleMap pour les recherches locales : les résultats de Google Map apparaissent au-dessus des résultats organiques pour des requêtes locales (telle que « restaurant Paris »)

157. Affichage préférentiel de YouTube : pour les recherches de tutoriel, bien souvent les vidéos de YouTube sont affichées avant les premiers résultats naturels.

158. Option de filtre « masquer les résultats explicites » : pour la sécurité des plus jeunes, il est possible d’exclure les résultats de recherche liés à des mots grossiers ou du contenu réservé aux adultes.

159. Recherches liées à l’argent et la santé : les résultats affichés pour les mots-clés concernant l’argent et la santé (Your Money Your Life, YMYL) sont classés selon des critères plus élevés.

160. Respect des droits de propriété : un site surpris à ne pas respecter les droits de propriété des images et des vidéos n’est pas affiché dans la SERP.

161. Respect des droits d’auteur : un site qui a reçu un grand nombre de plaintes concernant le non-respect des droits d’auteur est pénalisé.

162. Variété des domaines proposés dans le SERP : un maximum de deux pages pour un même site semble être la norme d’affichage de la page de résultats de Google.

163. Affichage spécifique pour certaines recherches transactionnelles : si par exemple vous effectuez une recherche pour un vol en avion, vous obtenez des informations telles que l’heure du prochain départ ou la possibilité de directement réserver depuis la SERP.

164. Mise en avant de résultats GoogleStore pour des requêtes d’achats : sans surprise, Google met en avant ses propres services avant d’afficher les résultats organiques. C’est notamment le cas pour les recherches associées à l’achat d’un produit.

165. Affichage préférentiel d’images en fonction du type de recherche : une fois encore, l’affichage de Google Images peut être prioritaire si la requête si prête (comme « fleur »)

166. Easter eggs : pour divertir l’utilisateur en fonction de sa requête, Google a inventé l’Easter Egg (fonction cachée). Ces animations sont principalement présentes à l’approche de grandes fêtes. 

167. Onglets d’actualités : si vous recherchez une actualité, les onglets des nouvelles de Google seront certainement affichés avant les résultats naturels.

168. Lutte contre les recherches considérées comme spam : la mise à jour Payday Loans a permis de nettoyer les résultats affichés en cas de recherches considérées comme étant du spam.

169. Utilisations de l’ensemble des outils de Google : bien entendu, Google favorisera ses propres outils si ceux-ci répondent de manière pertinente à l’intention de requête.

Critères de référencement contre le spam « sur site » 


illustration critères de référencement spam sur site

170. Adresse IP reconnue comme spam : si l’adresse IP d’un serveur est considérée comme source de spam, l’ensemble des sites de ce serveur sont pénalisés dans leur référencement naturel.

171. Lutter contre le contenu de mauvaise qualité : le filtre Panda permet à l’algorithme de Google de juger de la qualité d’un contenu rédactionnel. Un texte de mauvaise qualité est alors moins bien référencé dans la SERP.

172. Liens pointant vers des sites peu recommandés : un site qui redirige ses visiteurs sur des sites reconnus de spams ou fournissant du contenu non recommandable voit son trafic organique diminuer.

173. Redirections abusives : les redirections cachées (cloaking) découvertes par l’algorithme peuvent entraîner une désindexation de l’entier du site Web.

174. Excès de publicités : un nombre élevé de publicités sur un site est considéré par Google comme un signe de mauvaise qualité, ce qui pénalise donc son référencement.

175. Publicités au-dessus de la ligne de flottaison : si la partie visible d’une page ne contient que des publicités qui empêchent de lire le contenu sans scroller, c’est un facteur pénalisant en SEO.

176. Fréquence élevée d’apparition des popups : la fréquence d’apparition des popups est prise en compte afin d’évaluer la qualité de l’expérience utilisateur.

177. Popups masquant l’entier de la page : principalement sur la version mobile, les popups recouvrant toute la page sont considérés comme nuisibles à l’internaute et ne sont donc pas favorisés dans le classement des moteurs de recherche.

178. Suroptimisation d’un site Internet : c’est l’erreur que beaucoup d’experts SEO ont commise dans le passé. Le rendu doit sembler naturel afin d’être positivement considéré par l’algorithme. 

179. Le bourrage de mots-clés : le keyword stuffing est une technique ancienne qui permettait de duper les moteurs de recherche. Ce procédé est désormais largement pénalisé.

180. Contenu peu clair (charabia) : la pertinence du contenu est évaluée par les moteurs de recherche afin de définir le positionnement d’une page dans la SERP.

181. Contenu créé par intelligence artificielle : si Google soupçonne que le contenu d’un site a été créé par un robot, les pages peuvent être pénalisées, voire même désindexées

182. Utilisation extrême des liens « nofollow » : en cas d’un grand nombre de liens en « nofollow », cela peut sembler suspect aux robots d’indexation. En effet, cela ressemble à un procédé cherchant à contourner le système de l’algorithme.

183. Pages satellites : Google n’apprécie pas les sites Internet qui redirigent leurs visiteurs vers des pages satellites sans fournir le moindre contenu au préalable.

184. Utilisation fréquente et non transparente de liens affiliés : un usage abusif de liens affiliés peut faire penser à un site ne servant qu’à promouvoir les produits d’autres marques. Ce procédé est donc déprécié par les algorithmes des moteurs de recherche.

185. Intégralité d’un site affilié à une autre marque : évidemment, si l’ensemble des liens affiliés ne pointent que vers une seule marque, la sanction risque d’être importante.

186. Mise à jour Fred : les sites qui favorisent clairement le bénéfice aux dépens de l’utilisateur sont pénalisés par cette mise à jour de Google datant de 2017.

Facteurs SEO contre le spam « hors site » 


illustration facteurs SEO spam hors site

187. Site piraté : pour la sécurité des internautes, les moteurs de recherches désindexent les sites qui ont visiblement été piratés.

188. Lutte contre les liens de mauvaise qualité : le filtre Pingouin de Google sert à pénaliser les liens de mauvaise qualité. Toutefois, il ne semblerait pas qu’il influence l’entier de l’indexation d’un site Web.

189. Afflux soudain et massif de backlinks : véritable sonnette d’alarme pour les moteurs de recherche, ce phénomène prouve bien souvent un abus d’achat de liens visant à contourner les algorithmes SEO.

190. Alertes de la Search Console : la détection de liens non naturels par Google est transmise par la Search Console et précède généralement une pénalité si aucun changement n’a été rapidement effectué.

191. Liens provenant principalement de forums et de commentaires de blog : même si ceux-ci sont généralement en « nofollow », ils donnent l'impression d’une promotion abusive considérée comme spam par les moteurs de recherche.

192. Liens issus de sites sans aucune relation avec le sujet traité : dans le cas où cela serait fait de manière abusive, le site pointé risque une pénalité manuelle.

193. Backlinks depuis des sites de faible autorité : selon les informations transmises par Google, les liens provenant de sites peu fiables peuvent être pénalisants. 

194. Utilisation de widgets pour créer des liens : d’après leurs propres propos (source en anglais), Google n’apprécie pas les liens générés automatiquement par des widgets.

195. Liens échangés par un réseau unique (même IP) : cette pratique est considérée au même titre que l’échange direct de liens, ce qui entraîne donc une pénalité.

196. Backlinks toxiques : un lien toxique entraîne une chute dans les résultats organiques. Pour les identifier, vous pouvez utiliser un outil comme Semrush.

197. Liens non naturels : Google semble capable de déterminer si le flux de liens pointant vers une page est naturel. Les liens qui ne sont pas considérés comme tels perdent de leur puissance.

198. Liens éphémères : des liens qui disparaissent rapidement ressemblent à des actions de spam pour les moteurs de recherche. 

199. Recommandations dans les articles de presse : trop souvent utilisées de manière abusive, ces recommandations sont désormais très mal considérées par les moteurs de recherche.

200. Dénoncer un site Web : un site dénoncé lors d’une action manuelle peut subir une chute vertigineuse dans les classements affichés sur Google.

201. Ventes directes de liens : un site surpris à faire de la vente directe de liens peut tout simplement être désindexé.

202. Améliorer sa visibilité : si vous avez subi les conséquences de liens externes qui vous pénalisent, vous pouvez tout simplement désavouer des liens sur Google.

203. Lutte contre les afflux importants de liens pontant vers un nouveau site : un nouveau site qui reçoit trop rapidement un nombre conséquent de backlinks est suspecté de vouloir déjouer l’algorithme de référencement. Il est donc placé dans la Google Sandbox et devra patienter avant d’être référencé.

204. Sortir d’une pénalité Google : lorsqu’un site a été pénalisé ou carrément désindexé, il peut faire une demande de réexamen auprès de Google. Cela doit toutefois être fait après s’être assuré d’avoir réglé tous les points ayant amené à une telle pénalité.

💡 Comment choisir les critères de référencement naturel ?

Pour réussir son référencement naturel à l’époque post-RankBrain, vous devez créer votre propre liste de facteurs de classement - une liste qui est adaptée aux besoins et préférences spécifiques de votre secteur d’activité et de votre cible.

RankBrain établit la pertinence et l'importance des 200 facteurs de classement de Google en utilisant une variété d’informations,  des informations généralistes comme le secteur d’activité ou la localisation jusqu’à des informations individualisées comme le comportement de recherche, l’historique d'un utilisateur et ses contenus préférés.

Selon une étude de 2009, les facteurs « mots-clés dans le contenu » et « liens » étaient les piliers du référencement naturel, mais en moyenne, aujourd’hui seulement 53% des 20 premiers résultats ont des mots-clés dans leurs titres et les liens entrants sont moins importants en moins importants.

L'élaboration d'une liste de critères pertinents nécessite d'identifier les modèles dans les SERP. En prenant le temps de comprendre les facteurs que RankBrain privilégie pour chaque requête, vous pouvez établir une liste de directive pour votre contenu pour l'aider à ranker correctement dans Google.

Commencez par effectuer une recherche en navigation privée pour un mot-clé et recherchez des modèles récurrents comme :

  • Le type de média - Regardez la façon dont les contenus sont présentés dans les TOPS résultats.
    Donnez de la valeur

    Sont-ils semblables ? Si oui, quel est le type de contenu : texte, vidéos, infographie,  fichiers PDF ? Si la plupart des résultats contiennent des vidéos, c'est probablement parce que les utilisateurs préfèrent les vidéos. Cela dit, l'absence d'un type de contenu ne signifie pas nécessairement que cela ne fonctionnera pas, cela pourrait signifier que l’internaute n'a encore essayé. Commencez par produire le type de contenu qui se classe bien, mais évaluez les occasions d'être le premier à essayer quelque chose de nouveau ;-)

  • La fraîcheur du contenu - Quand les résultats ont-ils été publiés ? S’ils ont des dates de publication variables couvrant plusieurs années, la fraîcheur du contenu n'est probablement pas un facteur. Cependant, si elles étaient toutes publiées au cours des dernières semaines, la fraîcheur du contenu pourrait être importante. Pour certaines requêtes, les utilisateurs recherchent les informations les plus récentes.
    • Exemple : les séries TV & mangas, les dates de sorties sont généralement chaque semaine. Google privilégie la fraicheur. Le dimanche après-midi les résultats Google pour Dragon Ball Super date de moins de 24 h.
  • La longueur de contenu - Les résultats sont-ils des landing pages avec des contenus courts, ou sont-ils des dossiers complets ? Cela met en évidence la quantité de contenu que les internautes recherchent. Si les meilleurs résultats sont des guides détaillés, cela indique qu'un contenu approfondi est probablement un facteur de classement positif pour la requête recherchée. A contrario, si les meilleurs résultats sont des pages d'atterrissage, les utilisateurs sont probablement plus intéressés par les points forts des produits ou services.
  • Les pages connexes - De toute évidence, les meilleurs résultats couvriront les sujets relatifs au mot clé que vous avez recherché, mais couvrent-ils également des sujets connexes ? Si c’est le cas, l’ajout de sujets connexes peut être un facteur de classement positif.
    • Par exemple, les résultats pour le mot-clé "campagne SEO" peuvent également inclure des informations sur les campagnes SEM, ou l’inbound marketing.
  • Les liens entrants - Dans certains cas, le nombre et la qualité des liens entrants peuvent être un facteur de classement.
    Liens internes

    Utilisez un outil comme MajesticSEO ou SEObserver pour identifier rapidement le nombre de liens entrants pour une SERP.

 

Lorsque cet exercice est terminé, vous aurez une liste des facteurs de classement pertinents pour le contenu que vous vous préparez à créer. Essayez de copier la stratégie des meilleurs résultats. Si les premiers résultats ont tous un

de type "Comment faire pour XX", "X étapes pour", etc., vous pouvez utiliser ce format pour votre titre de contenu. Si les résultats principaux ont tous des dizaines de liens entrants, vous devrez probablement partir à la chasse aux liens après la publication. <p>En menant cette stratégie avant d'écrire de nouveaux contenus, vous pouvez <strong>déterminer les facteurs de classement que RankBrain privilégie</strong>. Cette information peut être utilisée pour guider la création et l'optimisation du contenu.</p> <h3>Évaluation des critères de positionnement lié à l'engagement</h3> <div class="media media-element-container media-default media-wysiwyg-align-left"> <div id="file-34" class="file file-image file-image-png"> <div class="content"> <img alt="triplet RDF" title="triplet RDF" class="media-element file-default img-responsive b-lazy" data-delta="3" typeof="foaf:Image" width="98" height="98" data-src="https://www.seoquantum.com/sites/default/files/3.png" src="data:image/gif;base64,R0lGODlhAQABAAAAACH5BAEKAAEALAAAAAABAAEAAAICTAEAOw==" /></div> </div> </div> <p>Au lieu de compter sur les backlinks pour déterminer la qualité du contenu, Google <b>RankBrain utilise des signaux d'engagement.</b> Les facteurs tels que les taux de clics (CTR), le temps sur la page et les pages par session peuvent présenter des signaux forts à Google concernant la qualité et la pertinence du  contenu : </p><ul><li><span style="tab-stops:list 36.0pt">Si un contenu est en 1<sup>ère</sup>  position dans les résultats de Google, mais les internautes cliquent plus souvent sur le contenu de la 2ᵉ position, il est probable que le contenu de la première position ne soit pas satisfaisant pour le mot-clé et perdra probablement sa première place.</span></li> <li><span style="tab-stops:list 36.0pt">Si les internautes cliquent sur le contenu, mais retournent aux résultats de recherche sans passer beaucoup de temps sur la page, cela pourrait signaler une faible qualité de contenu ou un contenu qui ne répond pas à l'intention de l’internaute. </span></li> <li><span style="tab-stops:list 36.0pt">Si l'utilisateur clique sur un résultat et continue à afficher plusieurs pages sur le site, cela pourrait être un signal positif d’engagement</span></li> </ul><h2>➰ Que faire une fois les critères de positionnement déterminés ?</h2> <p>Une fois le contenu publié, il est temps de déterminer si l'engagement des internautes a un impact sur le classement. Pour ce faire, tirez profit des outils tel quel Google Search Console ou Google Analytics. Ces outils proposent d’étudier chaque page à travers le prisme du taux de clics (CTR), du temps passé sur la page et le nombre de  pages vues par session. Découvrez également l’article « <a href="https://www.seoquantum.com/billet/optimisation-balise-title">5 astuces sur la balise title </a>» qui vous permettra d’optimiser votre CTR.</p> <p>En effectuant des actions pour améliorer l'engagement des internautes avec votre site et votre contenu, les utilisateurs enverront des signaux forts à RankBrain. Ces signaux devraient vous aider à grimper dans les résultats de recherche et à dépasser vos concurrents.</p> <div class="jumbotron"> <h2>⚠ Il n’existe pas de critères de classement universels</h2> <p>Je pense qu’il s’agit d’un non-sens de parler de « meilleurs critères SEO » en 2021. <b>RankBrain a rendu les facteurs de classement universels obsolètes</b>. Les sites qui excellent dans les SERP aujourd'hui répondent spécifiquement aux besoins et aux préférences de l’internaute. Je pense que la seule façon de faire est de déterminer exactement ce que les internautes recherchent pour chaque mot-clé.</p> </div> <p></p>

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